J’ai débuté ce stage par un audit complet du réseau informatique du bâtiment. À l’aide de l’outil MtPuTTY, je me suis connecté aux switches via SSH pour recenser les ports actifs, inactifs ou désactivés. J’ai relevé la durée d’inactivité de chaque port, ce qui m’a permis de repérer ceux inutilisés depuis plus de 20 semaines. Ces ports ont ensuite été désactivés afin d’optimiser les performances du réseau et réduire la surface d’exposition à des risques de sécurité.

J’ai ensuite participé au réaménagement du câblage dans les armoires réseau, en déconnectant et en retirant les câbles inutilisés. Ce travail visait à assainir l’infrastructure et améliorer la lisibilité et la maintenance du réseau.

J’ai découvert et pris en main les équipements Cisco Meraki, notamment leur interface de gestion centralisée. J’ai conçu une maquette réseau de test, incluant un switch et un routeur Meraki, pour me familiariser avec leur configuration.

J’ai trié les anciens équipements récupérés, notamment des routeurs Meraki issus de magasins fermés, et j’ai réalisé un inventaire complet sous Excel précisant leur état (fonctionnels, HS, défectueux).

J’ai préparé cinq kits réseau complets pour déploiement dans différents magasins. Chaque kit comprenait un switch, un routeur et une borne Wi-Fi Meraki. J’ai vérifié leur bon fonctionnement et effectué les configurations de base avant expédition.

Dans un premier temps, il a fallu déterminer le moment le plus opportun pour débrancher les câbles réseau des switches. Pour cela, nous avons analysé les périodes de la semaine où le nombre de ports actifs était le plus faible.

Une fois ce créneau identifié, j’ai préparé tous les ports qui allaient être utilisés après le recâblage. J’ai également organisé le switch en séparant les ports par VLAN : à gauche, les utilisateurs classiques, et à droite, les équipements spécifiques tels que les bornes Wi-Fi, les liaisons inter-switchs, etc.

Il ne me restait alors plus qu’à déconnecter et rebrancher les câbles un par un afin de limiter au maximum la durée des coupures. Certains câbles n’ont pas pu être débranchés, soit parce que leur utilité n’était pas clairement identifiée, soit parce que leur déconnexion, même brève, aurait causé un impact trop important sur le réseau.

J’ai procédé à l’inventaire de plusieurs box Orange provenant de magasins fermés. Ce travail s’inscrivait dans une démarche de recyclage et de réduction des coûts matériels, permettant à l’entreprise de réutiliser les ressources disponibles.